Les entreprises devraient composer au-delà des problématiques de la pandémie, avec l’augmentation des prix de l’énergie.
Le baril de Brent de la mer du Nord se négociait pour 87,26 dollars vers 04H50 GMT (+0,9%) ce mardi 18 janvier, après avoir grimpé jusqu'à 87,55 dollars plus tôt en séance.
Plusieurs facteurs contribuent à cette nouvelle poussée du pétrole, notamment les interruptions de production «en Libye, au Nigeria, en Angola et en Equateur. Les risques géopolitiques s'ajoutent à l'équation, et ce dans plusieurs zones du globe en même temps, du Golfe à l'Ukraine.
Les analystes de Goldman Sachs prévoient que le Brent atteigne 96 dollars cette année, puis 105 dollars en 2023, selon une note publiée hier, lundi 17 janvier 2022.
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